James Sacré

James Sacré à la librairie Le Grain des mots à Montpellier
le 17 novembre 2005 © Brigitte Palaggi 2005

James Sacré est né en 1939. Il passe son enfance et son adolescence à la ferme des parents en Vendée. D'abord instituteur puis instituteur itinérant agricole, il part, en 1965, vivre aux États-Unis où il poursuit des études de lettres (thèse sur la poésie de la fin du XVIè siècle français). Il y enseigne dans une université du Massachusetts (Smith College) tout en faisant de nombreux séjours en France et des voyages en d'autres pays (l'Italie et le Maroc, souvent). Il a publié des livres de poèmes au Seuil (Cœur élégie rouge, 1972), chez Gallimard (Figures qui bougent un peu, 1978) et aux éditions André dimanche, ainsi que chez de nombreux petits éditeurs. Il vit de nouveau en France, à Montpellier, depuis 2001.

derniers publications

Une petite fille silencieuse et une réédition de Cœur élégie rouge (André Dimanche, 2001) ; Écrire à côté et Les mots longtemps, qu'est-ce que le poème attend ? (Tarabuste, 2000 et 2004) ; Si peu de terre, tout et Monsieur l'évêque avec ou sans mitre (Le dé bleu, 2000 et 2002) ; Mouvementé de mots et de couleurs, avec des photographies de Lorand Gaspar (Le temps qu'il fait, 2003) ; La mémoire de personne, avec une eau-forte de Richard Texier (C. D'hervé, éditeur, 2004) ; Un p'tit garçon, je sais plus, avec six linogravures de Joan Hernandez Pijuan (Bernard-Gabriel Lafabrie, Paris, 2004) ; Sans doute qu'un titre est dans le poème (Wigwam, 14 bd Oscar Leroux, 35002 Rennes, 2005) ; Écriture aux objets d'encre, poèmes pour accompagner quatre gravures en manière noire de Judith Rothchild (éditions Verdigris, 34800 Octon, 2005).

James Sacré au cipM le 28 septembre 2007 © Brigitte Palaggi 2007

31 poèmes de L'Amérique un peu de James Sacré,
aux éditions Conre-Pied

« Décrire un pays. Celui-ci, les États-Unis
Ça n'aurait évidemment pas de fin, comme de lire
Des encyclopédies d'un bout à l'autre. Et recommencer,
À cause que toujours faut les remettre à jour. [...] »

Poète, auteur de très nombreux livres et recueils chez différents éditeurs, dont André Dimanche, Le Dé bleu, Tarabuste et Obsidiane, James Sacré vient de publier Un paradis de poussières, André Dimanche éditeur, en novembre 2007.

Vient de paraître : 31 poèmes de l'Amérique un peu de James Sacré, éditions Contre-Pied, juin 2008.
36 pages, broché, format 21 x 14,5 cm, 4 € + 1,55 € de frais de port
EAN : 9782916252124 / ISSN : 1263 - 9729 - N° d'éditeur : 45 / 06-08
Diffusion A&P : 04 42 42 09 55 - http://autresetpareils.free.fr
(Commande et chèque à l'ordre de l'association Autres et Pareils, 2 impasse Poterne, 13500 Martigues)

bibliographie

• Relation, N.C.J., Bordeaux, 1965.
• La femme et le violoncelle, J.C. Valin éditeur, Lamérac, 1966 (avec un dessin de Pierre Bugeant).
• "Graminées", Poésie-Écrire, Le Seuil, Paris, 1968 (collectif) ;
repris dans Les mots longtemps..., Tarabuste, 2004.
• La transparence du pronom elle, Chambelland, Paris,1970 (tirage de tête avec des eaux-fortes d'Yvon Vey).
• Cœur élégie rouge, Le Seuil, Paris, 1972 ; et André Dimanche, Marseille, 2001.
• Comme un poème encore, Atelier de l'agneau, Liège, 1975 (avec des dessins d'Yvon Vey) ;
repris dans La poésie, comment dire ?
• Paysage au fusil (cœur) une fontaine, Gallimard, Cahier de poésie 2 (collectif), Paris, 1976 ; et La Cécilia, Tours, 1991 ; repris dans Les mots longtemps..., Tarabuste, 2004.
• Un brabant double avec des voiles, Nane Stern, Paris, 1977 ;
repris dans Les mots longtemps..., Tarabuste, 2004.
• Un sang maniériste, Étude structurale autour du mot sang dans la poésie lyrique française de la fin du seizième siècle . Neuchâtel, La Baconnière, 1977.
• Figures qui bougent un peu, Gallimard, Paris, 1978.
• "Exercice et plaisir en faveur de l'amour", L'amour mine de rien, Encre/Recherches, Paris, 1980 (collectif) ;
repris dans La poésie, comment dire ?
• Quelque chose de mal raconté, André Dimanche, Marseille, 1981.
• Des pronoms mal transparents, Le dé bleu, Chaillé-sous-les-Ormeaux, 1982.
• Rougigogne, Obsidiane, Paris, 1983 (tirage de tête avec un dessin d'Yvon Vey).
• Ancrits, Thierry Bouchard, Losne, 1983 (tirage de tête avec des eaux-fortes de Patrice Vermeille).
• Écrire pour t'aimer, à S.B., André Dimanche, Marseille, 1984.
• Bocaux, bonbonnes, carafes et bouteilles (comme), Le Castor astral et Le Noroît, Paris, 1986 (avec des photographies de Bernard Abadie) ; repris dans Les mots longtemps..., Tarabuste, 2004.
• La petite herbe des mots, Le dé bleu, . Chaillé-sous-les-Ormeaux, 1986 ; repris dans Si peu de terre, tout.
• La solitude au restaurant, Tarabuste, St. Benoît-du-Sault, 1987 (tirage de tête avec des travaux de Thierry-Loïc Boussard) ; repris dans Écrire à côté.
• Une fin d'après-midi à Marrakech, André Dimanche, Marseille, 1988.
• Un oiseau dessiné, sans titre. Et des mots, Tarabuste, St. Benoît-du-Sault, 1988 (avec un dessin de Jillali Echarradi) ; repris dans La nuit vient dans les yeux, Tarabuste, 1997.
• Le taureau, la rose, un poème, Cadex, Montpellier, 1990 (avec des dessins de Denise Guilbert).
• Je ne prévois jamais ce que je fais quand je dessine, Les petits classique du grand pirate, Paris, 1990 (avec des dessins de Jillali Echarradi) ; repris dans La nuit vient dans les yeux, Tarabuste, 1997.
• Comme en disant c'est rien, c'est rien, Tarabuste, St. Benoît-du-Sault, 1991 (avec des dessins de Jillali Echarradi) ; repris dans La nuit vient dans les yeux, Tarabuste, 1997.
• On regarde un âne, Tarabuste, St. Benoît-du-Sault, 1992 (avec une photographie d'abderrazzak Benchaabane).
• Écritures courtes, Le dé bleu, Chaillé-sous-les-Ormeaux,1992 ; repris dans Si peu de terre, tout.
• La poésie, comment dire ?, André Dimanche, Marseille,1993.
• Des animaux plus ou moins familiers ?, André Dimanche, Marseille,1993.
• Le renard est un mot qui ruse, Tarabuste, St. Benoît-du-Sault, 1994 (avec un dessin de Jillali Echarradi) ; repris dans La nuit vient dans les yeux, Tarabuste, 1997.
• Ma guenille, Obsidiane, Sens, 1995.
• Viens, dit quelqu'un, André Dimanche, Marseille,1996.
• Essais de courts poèmes, Cahiers de l'Atelier, Toulouse, 1996 (avec des dessins de François Mezzapelle).
• La nuit vient dans les Yeux,Tarabuste, St. Benoît-du-Sault, 1997 (avec des dessins de Jillali Echarradi).
• La peinture du poème s'en va, Tarabuste, St. Benoît-du-Sault, 1998.
• Anacoluptères, Tarabuste, St. Benoît-du-Sault, 1998 (avec des illustrations de Pierre-Yves Gervais).
• Relation, essai de deuxième ancrit (1962-63 ; 1996), Océanes, Saint-Denis d'Oléron, 1999.
• Labrego coma (cinco veces), Noitarenga, Saint-Jacques de Compostelle, 1999 (avec des photographies d'Emilio Arauxo).
• Si peu de terre, tout, Le dé bleu, Chaillé-sous-les-Ormeaux, 2000.
• L'Amérique un peu, Trait-d'union, Montréal, 2000.
• Écrire à côté, Tarabuste, Saint-Benoît-du-Sault, 2000.
• Une petite fille silencieuse, André Dimanche, Marseille, 2001.
• Monsieur l'évêque avec ou sans mitre, Le dé bleu, Chaillé-sous-les-ormeaux, 2002 (avec des illustrations de Edwin Apps).
• Mouvementé de mots et de couleurs, Le temps qu'il fait, Cognac, 2003 (avec des photographies de Lorand Gaspar).
• Les mots longtemps, qu'est-ce que le poème attend ?, Tarabuste, Saint-Benoît-du-Sault, 2004.
• Sans doute qu'un titre est dans le poème, Wigwam, Rennes, 2004 (reproductions de peintures de Mariène Gâtineau).

livres à tirage limité

• Une bonbonne, Collectif Génération, Paris, 1978 ; repris dans Bocaux, bonbonnes, carafes et bouteilles (comme).
• Fire, Collectif Génération, Paris, 1981 (avec des photographies de Ian Baxter) ; repris dans La poésie comment dire ?.
• Déplier replier le poème ; l'abandonner, le ranger, Tarabuste, St. Benoît-du-Sault, 1988 (avec des travaux de Thierry-Loïc Boussard) ; repris dans La nuit vient dans les yeux.
• Paysan comme (quatre fois), Collectif Génération, Paris, 1989 (avec des peintures de Jane Hammond, Sonia Guerin, et Ronald King) ; repris dans Si peu de terre, tout.
• Comme un geste d'écriture, Bernard-Gabriel Lafabrie, Paris, 1991 (avec des lithographies de Lafabrie) ;
repris dans Viens dit quelqu'un.
• Noces : moments que le bonheur te prendrait par la main ; ou par les mots, La Mètis, Nice, 1992 (avec un dessin de Philippe Favier) ; repris dans Viens dit quelqu'un.
• Passage par sept poèmes d'un autre livre, ed. de, La Madeleine, 1993 ; repris dans Viens dit quelqu'un.
• Paroles de l'autre, Epiar-Cnap, Nice, 1993 (avec des sérigraphies de Laura Corti) ; repris dans Viens dit quelqu'un.
• Une dimension de silence, Atelier de papier, Liancourt-Saint Pierre, 1993 (avec des gravures d'Isabelle Baeckeroot et de Didier Godart) ; repris dans Une petite fille silencieuse.
• L'éternité c'est juste à côté, Tarabuste, St. Benoît-du-Sault, 1994 (avec des travaux de Patrick Mellet) ; repris dans La peinture du poème s'en va.
• Haïk de mots pour Essaouira, Tarabuste, St. Benoît-du-Sault, 1994 (avec des lithographies peintes de M. Kacimi) ;
repris dans La peinture du poème s'en va.
• Si on voit tout sans rien voir ?, Epiar-Cnap, Nice, 1995 (avec des travaux de Sonia Guerin) ; repris dans Écrire à côté.
• Petite note sur le désir d'écrire, Collectif Génération, Paris, 1996 (avec des interventions de Françoise Quardon).
• Voyages au centre de la chair, La Voix du Regard, Paris, 1996 (collectif; peintres et poètes).
• Le corps qui maintient, éditions Maeght, Paris, 2001 (avec deux gravures de Jean-luc Parant).
• On a traversé des territoires indiens, éditions de livres objets "Le Galet", Montpellier et Saint-Hilaire du Rosier, 2001 (sept poèmes manuscrits avec sept pastels de Thierry Lambert) ; repris dans L'Amérique un peu.
• Comme un brouillon continué, L'Ile Rousse et Montpellier, 2002 (poèmes manuscrits avec des peintures de Julius Baltazar).
• Si le corps dit, vraiment ?, L'Ile Rousse et Montpellier, 2002 (poèmes manuscrits avec des peintures de Julius Baltazar).
• Comme un repli du temps dans le jardin diminué, L'Ile Rousse et Montpellier, 2002 (poème manuscrit avec des peintures de Julius Baltazar).
• Caresse d'écriture à des couleurs, Nice et Montpellier, 2002 (poèmes manuscrits avec une gouache, un travail peint et des gravures de Gérard Serée qui a fabriqué le livre).
• Comme pour être un jardin, Robert et Lydie Dutrou éditeurs, "En Puisaye" n° 10, Paris, 2002 (avec Cinq lithographies de Jean-Paul Agosti et une gravure originale pour les exemplaires de l'édition de luxe).
• Un reste de fruit qu'on a mangé A travers, Gallargues-le-Montueux, 2003 (3 pages de poèmes pour accompagner une photographie de Jacques Clauzel).
• La mémoire de personne, C. D'hervé, éditeur, Lyon, 2004 (avec une eau-forte de Richard Texier).
• Un p'tit garçon, je sais plus, Bernard-Gabriel Lafabrie, Paris, 2004 (avec six linogravures de Joan Hernandez Pijuan).
• Écriture aux objets d'encre, Verdigris, Octon, 2005 (avec quatre gravures en manière noire de Judith Rothchild ;
exemplaires de tête avec une mezzatinte supplémentaire de Judith Rothchild ; typographie, étuis et coffrets de Mark Lintott)
• Un, deux... seize, Anne Slacik éditrice, Paris, Pompignan, 2005 (texte dans seize livres peints par Anne Slacik).

cassette

• L'obscurité qui nous prend par la main, Artalect, Paris, 1994.

avec Autres et Pareils,
participation à :

- "N.Y., état de N.Y.", lecture-rencontre avec Olivier Domerg, le jeudi 17 novembre 2005 à 18 h 30, Librairie Le Grain des mots, MONTPELLIER, dans le cadre de l'exposition de Brigitte Palaggi et de poésie - espace public. Manifestation réalisée en partenariat avec la librairie Le Grain des Mots, les éditions Le Mot et le Reste et Le Bleu du ciel, et avec le soutien de la Région et la DRAC PACA, du CNL et du Conseil Général des BDR.

- LE PAYSAGE EST AU CENTRE, Rencontre-lecture avec Olivier Domerg jeudi 16 mars 2006 à 18 h 30 à la Médiathèque Boris Vian, à Port-de-Bouc.

- L'autre nom du réel, lecture-rencontre consacrée à la question du paysage, avec Nicolas Pesquès, vendredi 28 septembre 2007 à 19 h 00, centre international de poésie, Marseille.